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Photographie | Biologie animale | Prédation (biologie) | Proies et prédateurs | Animaux -- Alimentation | Renards | animaux prédateurs | Animaux sauvages | Afrique | Ornithologie | Entomologie | Dessins et plans | Gravure | Mammifères herbivores | Gazelles | Tariers | Mammifères sauvages | Sahara | Phacochères | Gazelle dama | ...
Punaise de la jusquiame. Source : http://data.abuledu.org/URI/5415db99-punaise-de-la-jusquiame

Punaise de la jusquiame

Punaise de la jusquiame (Corizus hyoscyami) : punaise rouge et noire qui se reconnait à l'absence de point blanc sur la membrane, à la présence d'une tache rouge centrale sur le scutellum et par deux taches noires en forme de cœur sur le pronotum. Elle a aussi une forte pilosité et de nombreuses nervures sur la membrane. Elle se nourrit sur des plantes toxiques et sa couleur rouge et noir avertit les éventuels prédateurs de sa toxicité.

Punaise rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cacd5-punaise-rouge

Punaise rouge

Insecte nommé gendarme, Pyrrhocoris apterus, (du grec πύρρος(ο), « rouge » et κόρις, « punaise »), appelé aussi « suisse », « cordonnier », « soldat » ou encore « diable cherche-midi » en raison de son attirance pour le soleil au zénith : c'est un insecte hémiptère hétéroptère de la famille des Pyrrhocoridae. Il porte le nom scientifique français de pyrrhocore, soit « punaise rouge ». C'est la punaise d'Europe la plus commune et la plus répandue : on la rencontre dans les zones tempérées d'Europe et dans la zone méditerranéenne, jusqu'à l'Inde, partout sauf en haute montagne. Cet insecte ne sent pas mauvais comme bien d'autres espèces de punaises. L'origine du nom « gendarme » vient de ses couleurs caractéristiques rappelant les anciens uniformes des gendarmes qui étaient rouge et noir. La taille est d'environ 10 mm, de 9 mm à 11,5 mm de longueur. L'animal est, comme tous les insectes, doté d'un squelette externe. La cuticule présente des dessins en rouge orangé et noir évoquant un masque de style africain, et qui découragerait certains prédateurs (coloration aposématique). La teinte et la forme des taches sont conditionnées par des éléments extérieurs : l'étendue des pigments noirs par exemple est influencée par la température. Ils vivent souvent en grands groupes.

Quatre méduses. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7bad6-quatre-meduses

Quatre méduses

Quatre méduses.

Renard à l'affût. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fd0239-renard-a-l-affut

Renard à l'affût

Renard à l'affût, par Walter Heubach (1865–1923).

Renard du Cap et sa proie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55075c57-renard-du-cap-et-sa-proie

Renard du Cap et sa proie

Renard du Cap (Vulpes chama), Etosha en Namibie. Le Renard du Cap est un habitant des zones arides ouvertes. C'est un prédateur nocturne qui se cache en journée sous les rochers ou dans des terriers creusés dans les terrains sableux. Il chasse essentiellement de petits vertébrés et des insectes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Renard_du_Cap

Renard polaire couché. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378d2fe-renard-polaire-couche

Renard polaire couché

Renard polaire (Alopex lagopus). Le renard polaire vit dans des milieux où les températures sont très basses en hiver. Il peut résister à des températures de -50 °C. Cet animal très robuste ne connaît que peu de prédateurs. La répartition contemporaine est circumpolaire, mais il semble, au vu des ossements trouvés par les paléontologues, que dans les millénaires qui ont suivi la dernière glaciation, il ait pu vivre avec le renard roux jusqu'en Belgique et en France, avec le lion des cavernes et les hyènes, voire des fennecs, durant notre préhistoire. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Renard_polaire

Renard tenant sa proie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52dc43c8-renard-tenant-sa-proie

Renard tenant sa proie

Renard tenant sa proie dans sa gueule, au Canada. Le renard, comme les mustélidés joue un rôle sanitaire et de régulation essentiel, en consommant plusieurs milliers de souris et petits rongeurs par an. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quilibres_pr%C3%A9dateurs-proies.

Répartition géographique du krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4605d-repartition-geographique-du-krill-antarctique

Répartition géographique du krill antarctique

Répartition géographique du krill antarctique. Il contribue à la bioconcentration des toxiques dans la pyramide alimentaire, en particulier du mercure et d'autres polluants, qu'il contient cependant en proportion bien moindre que les prédateurs "supérieurs" (grands poissons (thon, marlin, espadon... et mammifères carnivores, tels que dauphin, orque ou cachalot)). Le krill fait l'objet d'une pêche industrielle qui alimente essentiellement le marché des aliments pour animaux en farine animale (ou krill lyophilisé), pêche dont les impacts ne sont pas finement mesurés. Le krill est un filtreur important des océans, dont il diminue la turbidité. Le krill par ses mouvements et migrations nocturne/diurne ou saisonnière, a probablement une importance significative, comme d'autres espèces de zooplancton en matière de mélange des couches thermiques et/ou plus ou moins salées dans les zones où il vit.

Rouge-gorge tenant un lombric en son bec. Source : http://data.abuledu.org/URI/52dc4554-rouge-gorge-tenant-un-lombric-en-son-bec

Rouge-gorge tenant un lombric en son bec

Rouge-gorge (Erithacus rubecula) tenant un lombric (Lumbricus terrestris) dans son bec. La prédation est parfois l'occasion de transferts importants de matière organique, d'énergie et de nutriments d'une milieu vers un autre : Ici, le transfert se fait du compartiment du sol vers la strate herbacée et boisée, via le lombric consommé par le rouge-gorge familier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quilibres_pr%C3%A9dateurs-proies

Tarier juvénile de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a1ae8-tarier-juvenile-de-la-reunion

Tarier juvénile de La Réunion

Tarier tec-tec juvénile (Saxicola tectes) de La Réunion. C'est un oiseau court et rond, à petit bec fin et pointu, d'une longueur de 12,5 cm. Il est reconnaissable à son sourcil blanc, qui le différencie de Saxicola torquata, le tarier pâtre, dont le sourcil est noir. Il fréquente les clairières forestières et les milieux ouverts, depuis 300 mètres d'altitude jusqu'à la limite haute de végétation, à plus de 2500 m. Il vit en solitaire. On peut le voir souvent se percher au sommet d'un buisson ou d'un rocher pour guetter les insectes qu'il capture au vol ou au sol. Son nid est fait dans le creux d'un tronc ou souvent à même le sol, une habitude sans doute héritée de l'époque (avant l'arrivée de l'homme sur l'île) où il n'avait à craindre aucun prédateur.

Tête de Gazelle Dama. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c4a44-tete-de-gazelle-dama

Tête de Gazelle Dama

La Gazelle dama (Gazella dama, ou Nanger dama) est une espèce de gazelle africaine devenue rare et menacée. C'est la plus grande gazelle actuelle. Le cou et les pattes sont très allongés. Les cornes assez courtes sont en forme de S dirigé vers l’arrière. Celles des mâles sont en général plus longues et plus robustes que celles des femelles. La tête est de couleur blanche et les femelles présentent une raie noire en travers de l’œil. Le cou, roux, porte une tâche blanche bien visible. Elle se déplace vers la zone saharienne au moment de la saison des pluies, lorsque les pâturages sont abondants et de bonne qualité et redescend dans la zone sahélienne durant la saison sèche. Elle fréquente plutôt les zones de dunes fixes, les steppes et prairies à acacias. Elles s'amusent aussi au « stotting » ou « pronking », qui sont des rebonds, une discipline commune chez toutes les gazelles, plus ou moins développée selon les espèces. Elle fait des petits bonds, c'est un animal paisible. Ses prédateurs naturels, sont les léopards, et autrefois les guépards du Sahara et les lions de l'Atlas dans une moindre mesure.

Tête de phacochère africain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d56611-tete-de-phacochere-africain

Tête de phacochère africain

Tête de phacochère africain (Phacochoerus africanus) : Il a une longue crinière sur le haut du dos et deux défenses dirigées vers le haut, atteignant 60 cm chez les vieux individus. Elles lui servent notamment à déterrer des racines ou des bulbes, et aussi à se défendre contre ses prédateurs, lions, léopards, lycaons, hyènes ; les jeunes sont la proie des guépards, aigles, pythons, chacals, caracals, mais les parents sont de redoutables défenseurs. Le phacochère peut tenir tête à un léopard ou même à une lionne, et il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phacoch%C3%A8re Mâles et femelles ont des défenses. Ce sont des canines à croissance continue qui sont transformées en défenses, en faisant saillie hors de la bouche. Les mâles ont, en plus, des excroissances calleuses sur les côtés de la tête utiles pendant les combats. Ces bosses sont en fait deux os spéciaux, reliés aux naseaux et recouverts de peau, qui donnent une grande résistance au groin de cet animal fouisseur.

Tigre dévorant un cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a87810-tigre-devorant-un-cerf

Tigre dévorant un cerf

Bronze sculpté par Antoine-Louis-Barye (1750-1875), intitulé "Tigre surprenant un cerf", don de Georges Thomy-Thiéry, 1902, affecté au Musée du Louvres, département des sculptures (inv. OA5750), déposé à Roubaix en 2008.

Une guêpe et sa colonie - 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/541b4eb5-une-guepe-et-sa-colonie-03

Une guêpe et sa colonie - 03

Une jeune reine de l'espèce de guêpes sociales Polistes dominulus en train de fonder une nouvelle colonie. De nouvelles alvéoles sont faites avec des fibres machées et de la salive. La reine nourrit sa progéniture avant l'émergence des premières ouvrières. Ici, elle apporte un chenille pour nourrir sa progéniture.

Variétés de vers annélides sous-marins. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcd03-varietes-de-vers-annelides-sous-marins

Variétés de vers annélides sous-marins

Variétés de vers sous-marins par le botaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). Les polychètes (Polychaeta) sont les vers annélides comportant le plus grand nombre d'espèces, soit plus de 10 000. Ce sont des animaux essentiellement marins ou estuariens. On les a divisés en deux groupes : 1) les Sédentaires (fixés au substrat). Les polychètes sédentaires sont principalement tubicoles ; 2) les Errants (capables de mouvements et donc, de se déplacer). Les polychètes errants, comme le genre Nereis, sont des prédateurs munis de mâchoires ou de dents plus ou moins visibles et marquées. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Polychaeta.